Le seder est le repas pris par les juifs lors de la Pâque juive. Je passe les détails de l' organisation tant c' est codifié donc compliqué.D' ailleurs Jésus s' est levé contre toutes ces codifications qui entravaient la liberté des Juifs. Pour paraphraser le Christ, disons que le seder a été créé pour l' homme et non l' homme pour le seder! Sur le plateau de ce repas, y sont disposés 3 matsoth ou pains azymes, c' est l' hostie chez les Chrétiens. Du "karpass ou des légumes verts:céleri, persil, radis... Des herbes amers(maror) pour rappeler l' exil qui doit laisser un goût amer dans la bouche. l' haromet qui symbolise le mortier car les juifs en Egypte fabriquaient des briques. Une côte d' agneau(zeroa) symbolisant l' agneau pascal et des oeufs durs pour la destruction du Temple de Jérusalem. Le tout accompagné de 4 coupes de vin et de la (re)lecture de la haggada: l' exode ou le Déteuronome que je préfère car il nous invite à une lecture plus intériorisée. Voilà avec quoi Jésus et ses disciples ont préparé la Sainte Cène. Comme dans la célébration de l' Eucharistie, il y a un partage des matsoth. Le chef de famille élève bien haut le plateau contenant les mitsoth;il prend le pain azyme du milieu qui est béni et le partage en deux parties inégales: -petite partie est remise dans le plat -la plus grosse partie dans une serviette blanche est posée sur l' épaule du chef de famille comme un lourd fardeau;puis, il est caché sous la nappe en bout de table. Cette partie de la mitsath est appelée "aphikomen"-seul terme grec accepté à la Pâque-qui a sa correspondance en Jn5,43-46. Jésus lui aussi rompt le pain comme prédit Isaïe dans le chapitre 53 et repris dans Mt 26,26-28;Lc22:14-18. Puis vient le Maguide: lecture et explication de Déteuronome ch26:5-8 . Dans ma famille, on trempait un doigt dans le verre de vin et on faisait tomber une goutte à chaque évocation des plaies d' Egypte. Puis on prend le Maror et ensuite le koreth dont la correspondance se trouve en Jn 13,21. Comment ne pas être ému, remué au plus profond de soi-même, comment ne pas penser à la rencontre poignante de Jésus avec Jean le baptiste(Mt 26,28;Lc22, 20) quand le chef de famille à l' instar de Jésus prend la coupe de vin et fait le "berith hadaschah" soit l' alliance entre Dieu et les Hommes(Jr 31,31). Puis vient le Hallel et là aussi, Jésus fait une bénédiction extraordinaire(Mt26,30;Mc 14, 26;Lc22,39). A la lumière de tout ceci, il est normal d' y remarquer des analogies entre la Pâque et Pâques mais pour moi, Jésus est le messie qui m' a donné la vraie délivrance, le salut par son sacrifice de sa vie et surtout par sa résurrection.
Le seder est le repas pris par les juifs lors de la Pâque juive. Je passe les détails de l' organisation tant c' est codifié donc compliqué.D' ailleurs Jésus s' est levé contre toutes ces codifications qui entravaient la liberté des Juifs. Pour paraphraser le Christ, disons que le seder a été créé pour l' homme et non l' homme pour le seder! Sur le plateau de ce repas, y sont disposés 3 matsoth ou pains azymes, c' est l' hostie chez les Chrétiens. Du "karpass ou des légumes verts:céleri, persil, radis... Des herbes amers(maror) pour rappeler l' exil qui doit laisser un goût amer dans la bouche. l' haromet qui symbolise le mortier car les juifs en Egypte fabriquaient des briques. Une côte d' agneau(zeroa) symbolisant l' agneau pascal et des oeufs durs pour la destruction du Temple de Jérusalem. Le tout accompagné de 4 coupes de vin et de la (re)lecture de la haggada: l' exode ou le Déteuronome que je préfère car il nous invite à une lecture plus intériorisée. Voilà avec quoi Jésus et ses disciples ont préparé la Sainte Cène. Comme dans la célébration de l' Eucharistie, il y a un partage des matsoth. Le chef de famille élève bien haut le plateau contenant les mitsoth;il prend le pain azyme du milieu qui est béni et le partage en deux parties inégales: -petite partie est remise dans le plat -la plus grosse partie dans une serviette blanche est posée sur l' épaule du chef de famille comme un lourd fardeau;puis, il est caché sous la nappe en bout de table. Cette partie de la mitsath est appelée "aphikomen"-seul terme grec accepté à la Pâque-qui a sa correspondance en Jn5,43-46. Jésus lui aussi rompt le pain comme prédit Isaïe dans le chapitre 53 et repris dans Mt 26,26-28;Lc22:14-18. Puis vient le Maguide: lecture et explication de Déteuronome ch26:5-8 . Dans ma famille, on trempait un doigt dans le verre de vin et on faisait tomber une goutte à chaque évocation des plaies d' Egypte. Puis on prend le Maror et ensuite le koreth dont la correspondance se trouve en Jn 13,21. Comment ne pas être ému, remué au plus profond de soi-même, comment ne pas penser à la rencontre poignante de Jésus avec Jean le baptiste(Mt 26,28;Lc22, 20) quand le chef de famille à l' instar de Jésus prend la coupe de vin et fait le "berith hadaschah" soit l' alliance entre Dieu et les Hommes(Jr 31,31). Puis vient le Hallel et là aussi, Jésus fait une bénédiction extraordinaire(Mt26,30;Mc 14, 26;Lc22,39). A la lumière de tout ceci, il est normal d' y remarquer des analogies entre la Pâque et Pâques mais pour moi, Jésus est le messie qui m' a donné la vraie délivrance, le salut par son sacrifice de sa vie et surtout par sa résurrection.
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